Le germanisme dut ainsi rétrograder lentement, mais sans arrêt, devant
cet abus sournois de la religion et faute de toute défense
suffisante.[...] Les efforts anti-allemands des Habsbourg ne trouvèrent
point, surtout parmi le clergé supérieur, l'opposition qui s'imposait,
et la défense même des intérêts allemands fut complètement négligée.
L'impression générale ne pouvait pas varier : le clergé catholique tel
quel causait un brutal préjudice aux droits des Allemands. Il paraissait
donc que l'Église non seulement n'était pas de coeur avec le peuple
allemand, mais qu'elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés
de ses adversaires. La raison de tout le mal, d'après Schoenerer,
résidait dans le fait que la tête de l'Église catholique ne se trouvait
point en Allemagne; et c'était là une cause suffisante de son attitude
hostile aux intérêts de notre nation.
Adolf Hitler
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